PRESSE

L’éloge du Chardon

Presse :

« Soudain, devant les images de Marie Jaoul de Poncheville et de Charles Castella, nous prenions conscience que cet homme si critiqué, parfois si malmené pour tel ou tel de ses engagements, suscitait des inimitiés à la mesure de sa droiture. »
MARIANNE

Tengri, le bleu du ciel

Prix :

– Sélection officielle du Festival de Cannes 2009.

– Tengri, le bleu du ciel a été sélectionné pour représenter le Kirghizstan aux OSCARS D’HOLLYWOOD 2008

– Festival de Sarlat : Grand Prix du Public et Coup de Cœur 2009

– Festival International du Film de Tunis : Grand Prix 2009

– WIFTS Awards : Members of an international jury have determined the winner in the film categories :
Best Film and best director : Tengri, Le Bleu Du Ciel, de Marie Jaoul de Poncheville

Presse :

« Ce film est très actuel, écrit ettourné, avec intelligenceet une extrême sensibilité, par Marie Jaoul de Poncheville, a pour cadre l’Asie Centrale et plus précisément le Kirghizstan.
Dans ce pays, comme dans toute la région, nombreux sont les décombres de l’empire soviétique et chacun puise son énergie dans la recherche de ses racinrd. En arrière plan, l’Afghanistan et ses bruits de guerre qui n’en finissent pas et sur le devant de la scène l’occident qui pointe son nez.
Quant à l’histoire, elle s’inscrit dans ce que l’être humain a de plus beau à offrir : l’amour. »
MAGAZINE L’EXCELLENCE AUTOMNE 2009 NUMÉRO SPÉCIAL N°32

– « C’est un film passionnant, multiple, et surtout très beau : les paysages, les musiques, les femmes. On sort de là tout bouleversé et heureux d’avoir compris un peu plus de la beauté et de la dureté du monde. »
OLGA MOREL

– « Bleus à l’âme et soif de liberté dans des paysages à la beauté rude et extrême, Tengri est un voyage à entreprendre. »
LE FIGARO

– « Les enjeux du film sont simples et légitimes : raconter une belle histoire d’amour dans les magnifiques paysages kirghizes, évoquer la difficulté pour un homme à refaire sa vie dans un contexte social précaire, et à une femme de conquérir son autonomie. »
LE MONDE

Yönden

Presse :

– « Poème introspectif sublimé par la voix chaude de Charlotte Rampling et quête initiatique, le film Yönden, est bien plus qu’un documentaire, c’est un heureux miracle qui donne envie de dire à l’auteur ces mots qu’elle adresse à Yönden à la fin du film :
” Puisses-tu très longtemps ne pas te fatiguer d’être en ce monde ! ” »
LIBÉRATION

« Les mots y sont rares et choisis avec soin, murmurés par Charlotte Rampling.
Les images (de l’immensité de la steppe mongole, des visages, des gestes du docteur Alain Cantero, l’autre grand personnage de ce film) se suffisent à elles-mêmes. Des extraits de Molom se mêlent au documentaire. Yönden crève l’écran, hier, comme aujourd’hui… »
TÉLÉRAMA

« Le charme de ce film est de savoir se laisser aller à cette lenteur nomade,
qui est tout simplement le rythme de la nature, et de capter avec patience,
les évènements de la vie. »
TÉLÉ CINÉ OBS

La Projection

Presse :

« Mais il est certain que cette Projection-là, de Marie Jaoul possède la grâce d’une première fois. Rarement la beauté physique et presque tactile d’un écran de cinéma aura été ainsi redécouverte. »
LES CAHIERS DU CINÉMA n°536

– « Comme le très beau film « La vie sur terre » d’Abderrahmane Sissako auquel il fait suite, ce documentaire cueille les petits événements de Sokolo comme ils viennent.
Il prend au vol les conversations des villageois avec un réel bonheur. Pour nous, la venue d’Aberrahmane Sissako est l’occasion d’aller à la rencontre de ces Africains. Des jeunes évoquent leur refus d’être dépossédés du fruit de leur travail par leur père. Cette projection introduit une rupture dans la vie du village et impose sa dimension festive. L’installation des projecteurs et du drap qui servira d’écran est suivie avec attention par les enfants. Des yeux rieurs se fixent sur l’écran de fortune, des sourires émerveillés se dessinent sur les visages. « La Vie sur terre » est de retour à Sokolo, et c’est le cinéma qui revient avec Marie Jaoul de Poncheville. »
LE MONDE

Molom

Prix :

Sélectionné dans de nombreux festivals nationaux et internationaux : New York, Chicago, San Francisco, Berkeley, Toronto, Barcelone, Londres
– Prix du Chicago International Children Film Festival
– Prix de Cannes Junior
– Prix de Beyrouth

Presse :

– « Le plus beau film de l’année… »
NEW YORK TIMES

– « On ne peut pas oublier devant ces images que des cinéastes comme Kurosawa (“Derzou Ouzala”) ont évoqué un climat analogue…il séduira le public »
ELLE

– « Un film rare aux images superbes, dont les retentissements hédonistes et spirituels nous lavent les yeux-et le coeur-de trop d’images désolantes. »
STUDIO MAGAZINE

Lungta, les cavaliers du vent

Presse :

« L’homme est un désastre réparable. Il a sa bouche pour prier, ses mains pour pétrir les offrandes et refaire ce qui a été brisé. Il souffre, mais il souffrirait plus encore s’il n’avait pas sa magie. »
Quarante et un ans après l’invasion du Tibet par la Chine, six millions de Tibétains et cent mille exilés dispersés dans le monde rêvent toujours de réunification et d’autodétermination…
C’est dans les deux régions de l’Amdo et du Kham, interdites jusqu’alors aux cinéastes et aux journalistes, que Marie Jaoul de Poncheville a tourné « Lungta, les cavaliers du vent », qui exalte si bien le combat quotidien que mène ce peuple en survie pour garder vivaces ses traditions et sa philosophie pacifiste d’une portée universelle. Aux images, d’une stupéfiante beauté, s’ajoute un texte informatif jusque dans sa poésie, signé Pierre Joffroy et Andrew Harvey, et dit par Isabelle Adjani. »
Brigitte Baudin dans le FIGARO Octobre 1990

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